Discriminations - VSS
#unispourluttercontreleharcèlementlesviolencessexistesetsexuelles
L’INSA Toulouse est engagé pour lutter contre le harcèlement sexuel, les violences sexistes et sexuelles - une volonté qui s’articule avec le plan national du Ministère de l’enseignement supérieur de la recherche et de l’innovation et l’Université fédérale Toulouse Midi-Pyrénées.
L'INSA Toulouse a mis en place un dispositif pour lutter contre le harcèlement sexuel et les violences sexistes et sexuelles. Il inclut une cellule d’écoute et de signalement , une cellule de veille et un groupe de travail.
Depuis janvier 2021, un groupe de travail s’est mobilisé autour de représentants de personnels administratifs, d’enseignants et d’enseignants-chercheurs, et d’étudiants pour mettre en place le plan de lutte contre le harcèlement sexuel, les violences sexistes et sexuelles. Il a impulsé la création du dispositif global qui s’appuie sur un protocole strict et transparent. Ses missions sont de prévenir, sensibiliser et former la communauté INSA ainsi que de suivre et évaluer le dispositif.
L’établissement a pour vocation de transmettre aux élèves-ingénieurs une éducation humaniste. Parce que nous formons les ingénieurs de demain et portons des valeurs solidaires, nous mettons tout en œuvre pour que les comportements soient exemplaires et que l’Institut offre bien-être et qualité de vie à l’ensemble de la communauté, sur le campus.
L'INSA Toulouse prône la tolérance zéro.
Quelques chiffres sur l’Enseignement supérieur et la recherche
Source Rapport de l’Observatoire étudiant des violences sexuelles et sexistes dans l’ESR
Près d’1 étudiant sur 5 ne connaît pas la distinction entre agression sexuelle et harcèlement sexuel et la distinction entre agression sexuelle et viol
1 étudiante sur 20 a été victime de viol
1 étudiante sur 10 a été victime de violence sexuelle
34% des étudiantes et étudiants déclarent avoir été victimes ou témoins de violences sexuelles
71% des répondants considèrent que le contexte général ainsi que les traditions de leur établissement d’enseignement supérieur ne sont pas parfaitement égalitaires au regard du genre des individus.